NOTES
1997, Tim Newton, The sociogenesis of emotion – a historical sociology, in Emotion in social life : critical themes and contemporary issues, G. Bendelow, S.J. Williams, (ed. by), London, Routledge. - Voir les publications du Pr. Damasio dans Eléments de bibliographie.
1989, Ann. Rev. Sociol., 15 : 317-42 ; voir aussi 2000, Lewis M., Self-conscious emotions : embarrassment, pride, shame and guilt in M. Lewis & J.M. Haviland-Jones (dir.) Handbook of emotions, Guildford Press, N.Y.
1946, The chrysanthemum and the sword, patterns of Japanese culture, Boston, Houghton and Mifflin.
Fall 2008, Benedict's shame, Marilyn Ivy, in Cabinet Magazine. Voir aussi Millie C. Creighton, Revisiting shame and guilt cultures, a forty-year pilgrimage, Ethos, Vol. 18 N° 3, pp. 279-307.
op.cit.
1983, Anthropologie de l'honneur : les mésaventures de Sichem,Paris, Le sycomore.
1998, La domination masculine, Seuil, p. 18
1994, Espace social – espace symbolique in Raison pratique, sur la théorie de l'action, Paris, Seuil, p. 183.
1981, Y. Robreau, L'honneur et la honte, leur expression dans les romans en prose du Lanceloot-Graal, Genève, Librairie Droz ; 1993, R.A. Nye, Masculinity and male codes of honour in Modern France 1789-1914, Oxford Univ. Press ; voir aussi 1994, Theodore Zeldin, Histoire des passions françaises, Paris, Petite Bibl. P.ayot et 2017, Une histoire des émotions, Paris, Seuil.
1975, Surveiller et punir, Paris, Gallimard, p. 14.
1898, M. l'Abbé Lafon, Discours prononcé à la Distribution des prix le 20 juillet 1898, Lyon, Imprimerie du Salut Public.
1906, Paris, Vuibert et Nouy
1964, Aphorismes sur la sagesse dans la vie, Paris, P.U.F., pp. 47-56.
Pierre Bourdieu, dans Trois études d'éthologie kabyle, Ch.. I. Le sens de l'honneur in Esquisse d'une théorie de la pratique, Genève, Libr. Droz, 1972, décrit un système fonctionnel complexe du défi et de la riposte chez les hommes, système qui a pour but de régler les jeux interrelationnels tout en ménageant l'honneur de chacun. « Pour qu'il y ait défi, il faut que celui qui le lance estime celui qui le reçoit digne d'être défié (…) bref, le reconnaisse son égal en honneur. Lancer un défi, c'est lui reconnaître la qualité de l'homme. « Moi aussi, j'ai une moustache » a-t-on coutume de dire (p. 19
ibid, p. 42 : « L'ethos de l'honneur s'oppose dans son principe même à une morale universelle et formelle, affirmant l'égalité des droits et devoirs. Non seulement les règles imposées au hommes diffèrent des règles imposées aux femmes (…) mais en outre les commandements de l'honneur (...) ne sont aucunement universalisables. C'est le même code qui édicte des conduites opposées selon le champ social ».
Gazette des Tribunaux, 18/9/1906.
ibid., 31/6/1906.
ibid., 19/1/1906.
Pourtant, dans certaines affaires judiciaires, certains procès, les noms des accusés ou des personnes mises en cause ne sont pas mentionnés. On peut conjecturer que les intéressés avaient les moyens pour empêcher les journaux de citer leurs noms.
ibid. 6/2/1906.
1899, série Minutes parisiennes, Paris, Ollendorf.
Ibid-., p. 31.
Ibid., p. 31.
Ibid., p. 40.
Julian Pitt-Rivers, op. cit.
1906, Lieutenant Colonel Péroz, Par vocation, vis et aventures d'un soldat de la fortune, Paris, Calmann-Levy.
1984, L'usage des plaisirs , Paris, Gallimard, pp. 22-23.
Non seulement leur nombre s'accroît, mais les mêmes sujets ( médecine, sexualité) que l'on trouve dans le catalogue des libraires dès le milieu du siècle, se transforment en changeant progressivement de nom de manière significative : en 1840, ce catalogue comportait par exemple les rubriques Hygiène privée, Amour, Médecine populaire, etc... En 1900 s'y ajoutent Instinct sexuel, sexualité ; vers 1905 Hygiène privée change de nom et devient « Hygiène sexuelle ».
1910, Gustave Dantu, Manuel de morale pratique à l'usage des écoles primaires en conformité avec le programme officiel, Paris, Gabriel Beauchesne.
Premier grand corollaire de l'enseignement chrétien : se restreindre, s'abstenir de la jouissance. J. Renault (Etudions l'enfant, Paris, Libr. Lethielleux, 1909) dit, p. 7 : « La grande misère de notre temps, la grande plaie de notre époque ce n'est point le taux élevé des salaires, la rareté de l'argent, la difficulté de gagner sa vie et d'élever ses enfants, ce n'est point même telle ou telle doctrine politique, antilibertaire et antisociale, ce n'est point le socialisme ou ses principes subversifs de toute autorité légitime... c'est l'erreur dans la recherche de la jouissance que l'on veut trouver sans efforts. (…) On veut jouir, jouir encore, jouir de tout et pleinement, et toujours on cherche à éviter l'effort, prix de la jouissance ».
1901, Th. Barrau, Livre de morale pratique ou choix de préceptes et de beaux exemples, Paris, Hachette, p. 24.
Ibid., p. 107
1899, Le savoir-vivre pour les jeunes gens, Paris, Libr. Blond, p. 26.
Les principales sources ayant servi à la présentation de ce tableau sont : Gence, Comtesse de, Savoir-vivre et usages mondains en famille, Paris, Bibliothèque des ouvrages pratiques, s.d., Marion, M. et Béal, G., Le fond et la forme, Paris, Librairie Baloud, 1896 ; Salva, op. cit.
Comtesse de Gence, op. cit., p. 15.
Ibid ,.p. 19. Les italiques sont de nous.
Ibid., p. 27.
Salva, op. cit. p. 69.
Ibid., p. 33.
Ibid., p. 228
Comtesse de Gence, , op.cit. p. 273.
Salva, op. cit., p. 193.
Comtesse de Gence, op. cit. p. 454.
Maryon, op. cit., p. 166 .
Comtesse de Gence, op. cit. p. 29.
1978, Theodore Zeldin, Histoire des passions françaises, Paris, Editions des Recherches, I, p. 24.
Salva, op. cit. p. 58.
Edition de 1922 !
Les italiques sont de nous.
Les italiques sont de nous.
1903, Abbé de Gibergues, Les devoirs des hommes envers les femmes, instructions aux hommes du monde, Paris, Libr. Ch. Poussilgone.
Ibid., p. 15. Les italiques sont de nous..
Ibid., p. 61.
Ibid., p. 73.
Ibid., p. 70
Ibid., p. 86. Les italiques sont de nous.
Ibid., p. 176.
1905 (éd. 1942,) Sylvanus Stall, Ce que tout jeune homme devrait savoir, Genève, J.H. Jeheber.
Ibid., p. 13
Ibid., p. 16.
Ibid., p. 19. L'image de la buanderie, des travaux domestiques, n'évoque-t-elle pas la féminité ?
Ibid., p. 62.
« Dans le but de prévenir les attouchements, quelques-uns sont porteurs de ceintures spéciales, qui sont gênantes malgré toutes les perfections apportées à leur fabrication ; on est souvent obligé d'y renoncer et nous connaissons un enfant à qui l'on est obligé la nuit de lier les bras et les jambes avec des serviettes » préconise le Dr. B. Desmons, Hygiène du célibat, Paris, Librairie Baillère et fils, 1901, p. 76.
L'usage des plaisirs.
Stall, op.cit., p. 76.
Ibid., p. 86.
Ibid., p. 77. Les italiques sont de nous. La dignité en question fut refusée au femmes.
Desmons, op. cit.
Dans le chapitre « hygiène de la continence » Desmons ajoute aux conseils déjà connus une liste d'aphrodisiaques dont on devra s'abstenir : ce sont le céleri, l'artichaut, l'asperge, la benoite, le poivre, le muscade, le girofle, la vanille, le cacao, le safran, parmi les champignons la truffe, la morille, le phallus – puis les mollusques, les crustacés, la civette, la castorénum... Pour éteindre les désirs : le nénuphar, l'opium, le sel de nitre, la laitue, l'endive, la chicorée, l'oseille...
Ibid., p. 293.
Ibid., p. 301.
Stall, op.cit.
ibid., p. 146.
1962, L. Poliakov, Histoire de l'antisémitisme, Paris, Calmann-Levy, II, p. 151 .
Abbé de Guiberges, op. cit.
1909, Ce qu'une femme doit savoir, Paris, Libr. Nilsson.
ibid., p. VIII. Les italiques sont de nous.
ibid., p. 7.
ibid., p. 33.
Aucun traité ne prend des maladies telles que l'obésité, les tumeurs, l'acné, pour des maladies spécifiquement masculines.
1909, Dr. G. Surbled, La vie de jeune fille, ouvrage réservé aux mères de famille, Paris, Maloine, 9ème édition !
ibid., p. 124. Les italiques sont de nous.
s.d., Mlle de Thilo, L'hygiène intime, conseils aux femmes pour tous les âges de la vie, Paris .
ibid., p. 2.
in Poliakov, op. cit.,p. 63.
1884, Dr. L . Martineau, Leçons sur les déformations vulvaires et anales produites par la masturbation, le saphisme, la défloration et la sodomie, Paris, A. Delahaye.
ibid., p. 17.
ibid., p. 42.
ibid., p. 101. Les italiques sont de nous. Il s'agit là encore d'aveu de la honte féminine. Qui aurait eu l'idée d'examiner des hommes de la sorte ?
1904, Jules Payot, Cours de morale, Paris, A. Colin.
1910, V. Mirguet, L'éducation de la jeune fille contemporaine, spécialement de la jeune fille du monde, Bruxelles, Rossel.
ibid, p. 26.
22/1/1906.
15/1/1906.
1907, L. Proal, L'éducation et le suicide des enfants, Paris, Alcan.
C'est pour la première fois qu'apparaît l'idée dans ces textes que les femmes pourraient avoir honte de leur condition.
Célèbre mathématicienne russe.
ibid., pp. 74-76.
Salva, op. cit, p. 21. Les italiques sont de nous. Cette phrase reflète bien la crainte des hommes de devoir éventuellement rivaliser avec les femmes sur le plan professionnel.
1907, Paris, Bibliothèque des auteurs.
100Bis . C'est cette femme fatale qui sera bientôt appelée la vamp ».1984, Paris, Gallimard.
Cette incapacité juridique ne fut totalement abrogée qu'en 1965.
1967, Paris, Minuit.
Les italiques sont de nous.
1968, L'image du corps, Paris, Gallimard, p. 70.
A. M. Dardigna, dans Les châteaux d'Eros ou l'infortune du sexe des femmes, Paris, Maspéro, 1981., analyse l'image de l'érotisme contemporain à travers les œuvres de Klossowski, de Bataille, de Leiris, de A.P. de Mandiargues et de Pauline Réage. Selon son analyse, la femme décrite dans ces œuvres est le fruit de fantasmes masculins, réifiée, vénale, toujours parée de luxe, des attributs des classes privilégiées – mais avant tout masochiste. Ainsi, Roberte de Klossowski, cité p. 157 : « Et j'en arrive à jouir autant de mon déshonneur que de ceux qui me le donnaient (…) Un violent sentiment de honte ressenti par une femme se peut-il qu'elle le recherche (…) ?
ibid., p. 314.
cf. Séréno, op. cit., qui décrit comment les « règles déviées » envahissent avec du sang l'organisme entier, les poumons, le nez, les seins… Par ailleurs, ilest curieux que les féministes français lorsqu'elles ont choisi de lutter pour la libération de la femme, aient choisi ce slogan : « notre utérus est à nous », alors qu'elles entrent par là même dans le jeu des hommes qui avaient toujours disséqué par écrit tous les organes sexuels de la femme, alors que la physiologie de l'homme n'avait jamais été décrit d'aussi près, et surtout pas les maladies de ses organes sexuels. Il aurait mieux valu crier « occupez-vous de vos testicules ».
1913, Max Scheler, La pudeur, Paris, Aubier-Flammarion, éd. 1953.
Desmons, op. cit., p. 254 .
ibid., p. 257.
Les italiques sont de nous. Cette dénomination est très fréquemment utilisée. Voici un fait divers relaté dans la Gazette des Tribunaux du 23 janvier 1906 à propos d'un crime qu'un jeune ouvrier a commis dans un cabaret de Clichy sur une personne inconnue de lui : « une fille soumise vint à entrer et se fit servir une consommation(...) R. suivit la fille soumise et se plantant devant elle, lui tira, sans dire un mot, un coup de revolver en pleine figure »..
C'est-à-dire aussi déshonorante. Lorsqu'on trouve au dispensaire que la fille a une maladie vénérienne, elle est immédiatement envoyée à l'hôpital.
ibid., p. 264. Dans ces cinquante pages sur la prostitution c'est la seule remarque sur le souteneur.
« Une fille a racolé des passants : elle a été condamnée, la Cour de Cassation a cassé sa condamnation, car le racolage par gestes et paroles n'est légalement applicable qu'aux filles inscrites sur les registres » (Gazette des Tribunaux, 24 mai 1906.) De plus, il faut faire la preuve du racolage : « La défense aux débitants de recevoir des filles de mauvaise vie ne saurait s'appliquer au cas où deux filles étaient dans un cabaret, mais une de ces filles vivait maritalement avec l'individu avec qui elle était attablée » (Gazette des Tribunaux, 2 mars 1906.
C'est la maison des pestiférées ! Voir la citation suivante, ibid., p. 269.
ibid., p 272. ibid., Les italiques sont de nous.
ibid, p. 8
1907, Paris, Librairie universitaire/
ibid, , p. 8.
Pourquoi n'arrête-t-on jamais dans les garnis le partenaire des prostituées ? Pourquoi les hommes ne sont-ils pas envoyés à l'hôpital lorsqu'ils sont porteurs de syphilis ? Pourquoi est- ce la femme qui transmet la maladie à l'homme et jamais l'inverse ?
ibid., p. 10.
La seule qui mérite la qualification « femme » ?
Nomen est omen.
Villette, op. cit., p. 40.
ibid., p. 65. Les italiques sont de nous.
ibid., p. 133
1899. G. Coquoit, série « Les minutes parisiennes », Paris, Ollendorf
ibid., p. 14.
ibid., p. 23.
ibid., p. 75.
1903. Jules Bluzet, la prostitution officielle et la police des moeurs, Paris, Ligue française pour le relèvement de la moralité publique.
ibid., p. 33.
Proal, op. cit.
Proal, op. cit., p. 15.
ibid., p. 13.
Ce n'est pas lui qui le dit : à côté du complexe d'Oedipe il aurait fallu inventer le complexe d'Esau.
Renan, in Proal, p. cit., p. 28.
La France est unique en appelant pieusement « correction » le fait de battre un enfant.
Proal, op. cit.pp. 36-37.
ibid., p. 85.
ibid., p.37.
ibid., p. 79.
ibid., p. 80.
ibid., p. 114.
ibid., p. 116.
1964, Paris, Seuil.
1968, Asiles, Paris, Minuit.
Ottlik, op. cit. p. 65.
1907, Paris.
Gazette des Tribunaux, 16/1/1906.
Gazette des Tribunaux, 6/1/1906.
Gazette des Tribunaux, 3/1/1906.
Théodore Zeldin op. cit., Vol. I., 235-236.
1909, Jacques Valdour, La vie ouvrière, observations vécues, Paris, Giard et Brière.
ibid., p. 272.
ibid.,.p. 273.
1906, Gaston Tournier, Mémoires d'un jeune ouvrier, Mazamet. Bureaux del'Association protestante de jeunes gens.
Stall, op cit.
Tournier, op. cit., p. 67.
ibid., p. 80.
ibid., p. 104.
1911, R. Petit, Les retenues opérées par les chefs d'entreprises sur le salaire, Thèse faculté de droit.
ibid., p. 65.
ibid., p. 67.
1903, Paris
ibid., p. 13.
ibid., p. 20.
ibid., p. 76.
1908, Dr. P. Bobier, L'hygiène de l'ouvrier,. Etude d'hygiène sociale, Paris, Bonnalot- Jouve.
Les souhaits de Bobier se sont réalisés depuis ce temps.
ibid., p. 147.
cf. pages suivantes où tous les statistiques prouvent le contraire.
ibid., p. 198.
28/12/1849.
1907, Caroline Milhaud, L'ouvrière en France, Paris, Alcan, p. 32.
ibid., p. 37.
1899. G. Montorgueil, Le déjeuner des petites ouvrières, série « Les minutes parisiennes », Paris, Ollendorff.
ibid, p. 36.
ibid., p. 67.
1907. François Bécu, Le travail agricole et la condition des ouvriers agricoles dans le Pas-de-Calais, Arras, Librairie E. Boileux.
1/1/1906. Les italiques sont de nous.
1899, Paris, Ollendorff.
ibid., p. 5. Les italiques sont de nous.
2/1/1906.
18/5/1906.
Le Soir, 3 avril 1906.
Le Soir, 15/4/1906.
2/1/1906.
Le Matin, 10/1/1906.
Gazette des Tribunaux, 12/5/1906.
ibid., 10/6/1906.
ibid., 25/1/1906.
ibid., 9/8/1906.
ibid., 3/3/1906.
ibid., 16/3/1906
ibid., 19/7/1906.
ibid., 18/1/1906.
1903, Une heure – La Bourse, série Minutes parisiennes, Paris, Ollendorff.
ibid., pp. 18-19.
ibid., p. 35. Les italiques sont de nous.
Bobier, op. cit.
Foucault, op. cit.
Terrien, in Zeldin, op. cit., vol. V., pp. 92-93.
ibid., p. 93.
Abbé Gibergues, op. cit.
1906, Paris. Cela rappelle le temps des troubadours.
P. Bourdieu, op. cit., pp. 15 et 17.
When did we start feeling guilty ? In Emotion in Dialogic Interaction, ed. By Edda Weigand, Current Issues in Linguistic theory, 248., pp. 125-162.
ibid., p. 160.
1954, Gallimard, « Idées ».
Cela, Spinoza ne le dit pas. S'agit-il d'un avatar de la honte en 1900 ?
Nietzsche, dans la Généalogie de la morale (1886) distingue les forts et les faibles ; ces derniers, pour Nietzsche, ont pour réaction le ressentiment.
Orchamps, op. cit.
1980, préfacé par J.P. Aron, Paris, Fayard.
ibid., p.
éd. 1972. Manifeste du Parti Communiste, Paris, Ed. Sociales, p. 27.
Proal, op. cit. .
Bobier, op. cit.
1996, Violence, reflexions on a national epidemic, Putnam, N.Y.
Péroz, op. cit.
1895, Bruxelles.
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